Rachel Beverly

Nom : Beverly

Prénom : Rachel

Surnom éventuel : Trouvez m’en un d’original !

Age : Rachel est né en 1991 elle a donc 18 ans d’âge humain et sa vie de vampire ne fait que débuter.

Sexe : Féminin

Race : Vampire

Camp : Végétarienne en devenir et neutre.

Milieu social : ayant tout abandonné pour échapper à son destin, Rachel ne possède plus rien.

Métier : (rien pour l’instant mais j’aimerais la voir travailler la nuit dans une morgue ça laisse des idées de rp plutôt …alléchant)

Pouvoir éventuel : Rachel n’en a aucune idée encore mais elle se rendra bien vite compte qu’elle anticipe les évènements. Elle ne les prédit pas ! , mais elle ressent et devine qu’il ce passe quelque chose.

Équipement ou objets éventuels de votre personnage : Aucun

Un petit plus sur votre personnage ? Rachel est impulsive et déterminée. Elle est fidèle et loyale envers les gens qu’elle aime mais ne donne pas facilement sa confiance.

Description physique Rachel est grande et élancée. Très féminine et princesse de sa personne. Elle était ce genre de fille à la dernière mode et qui se souciait plus de son apparence et de ce qu’elle projetait chez les autres que du reste. Elle attache rarement ses longs cheveux auburn. Elle préfère les laisser voler au gré du vent. Ses yeux envoutant lui prête un regard profond, mystérieux. Elle à une énorme cicatrice dans le bas du dos.


Personnalité et caractère Rachel n’a pas la langue dans sa poche. Quand elle a quelque chose à dire, elle le dit et…malheureusement, souvent réfléchit après. Ancienne fêtarde accomplie, sa vie d’avant lui manque. Elle se permettra quelques saucettes en boite de nuit question de se déhanchée au son de la musique comme « au bon vieux temps ». Mais derrière ses airs assurés, Rachel est un être profondément blessé qui ne se pardonnera jamais la mort de son amoureux.



Je me souviens d’avant… Je me rappel cette nuit magnifique ou un ciel étoilée me surplombais. Je quittais tout juste mes copines après une soirée entre fille et je n’avais que quelques minutes de marche, seule, pour arriver chez moi. Nous avions beaucoup rit, beaucoup bu aussi. Une de ces soirées entres filles ou tous les aléas de la vie est passé à revue. Les homes, les cosmétiques, le dernier It du box office. Une bouffe décadente bien sur dont on condamnerait vite les calories le lendemain en se tuant sur un tapis roulant. C’était donc dans l’euphorie que je me dirigeai seule vers mon petit studio, repoussant quelques mèches de cheveux qui me collaient à la peau. La soirée était chaude et humide.

Je contournai une vieille Église en réparation. Instinctivement, je me signai de la croix, chose que jamais auparavant je n’avais fais. J’aurais du y voir un message. Mais je me contentai de me ridiculiser intérieurement. Une brise froide, voir glacial se leva et je retirai le large foulard à frange que je portais à mon cou pour m ‘en couvrir les épaules. Un bruit se fit entendre derrière moi et, en me retournant, je constatai que le ciel c’était atrocement assombrit, que les étoiles étaient maintenant dissimulés sous d’épais nuages et, au loin, le tonnerre gronda.

J’avais peur des orages …

La vieille Église avait une allure funeste. De gros échafauds longeant tout son coté semblaient chambrelan. Je jetai un coup d’œil à ma montre… 23h45 je me souviens. C’est chiffres resteront à jamais gravé dans ma mémoire. Un éclair déchira le ciel, le tonnerre gronda à nouveau et ce fut à cet instant que tout s’enclencha. Une immense boule de feu explosa du disjoncteur et la rue devint horriblement sombre. Seul le faible halo de lune pouvait éclairer encore mes pas mais la peur m’ayant envahit, j’hésitai entre rebrousser chemin pour retourner chez ma copine ou alors me rouler en boule tout contre le mur de pierre de l’Église et pleurer… Le vent souffla, et la pluie se joint au reste. Je me retrouvai bien vite trempée et je cherchai refuge sous le porche de la Sainte bâtisse.

La vie est pleine de contraste. La mort l’est encore plus. Ses deux bras de marbres m’enroulèrent et ses lèvres glaciales effleurèrent le creux de mon cou. En une seconde, j’étais passée de trouillarde à morte de peur. Il nous fît entrer à l’intérieur toujours en me tenant serré contre lui. Il avait bien du me casse une ou deux cotés a serrer si fort. Des larmes silencieuses coulèrent sur mes joues. J’imaginais déjà l’odieux qu’un agresseur ferait d’une jeune fille comme moi. Il n’en fut rien.
J’étais terrorisée ! Non seulement il se jouait de moi, mais je n’arrivais jamais à voir son visage. Il était si rapide, si agile.
J’en vins à le supplier de se montrer ou alors de me laisser partir. Je marchandai ma liberté contre mes bijoux, mon argent, mes clé de voiture (il n’avait pas besoin de savoir qu’elle était à la fourrière pour PV impayé…). Tout ce que j’obtins fu un rire. Un rire des plus froid, des plus sauvage.

Une silhouette se dressa devant moi. Il était plutôt petit, ma tellement musclé de ce que je pouvais en juger delà ou je me trouvais et j’eu presque douté que ce fut lui qui m’avait saisi un peu plus tôt. Des rubans de lunes filtraient au travers des nombreux vitraux et je ne pouvais faire autrement que de le fixer. Il s’approcha de moi d’un pas gracieux, presque fantomatique. Il portait des vêtements dépareillés. Un pantalon à cor du Roy marron avec une chemise à fleur ridicule comme on voit dans les clubs med. Des bottes de Cowboy et il arborait une coiffure à la Bob Marley. Un maelström de mauvais gout.

Il se présenta à moi comme suis :

Je suis Victor Hercule de Sparte Troisième du nom. Vampire. Et ce soir, tu seras ma proie, mon diner, mon petit plaisir. Comme tu sens bon… Hummmmm Ce sera un délice pour mon palais. Aussi, s’il te plait, je te prierai de ne point te débattre, je risquerais alors te devoir t’infliger d’horrible souffrance afin que tu demeure tranquille. Cela altérera ta saveur. Tu verras, cela sera douloureux un peu au début mais, je t’offrirai le choix que je n’ai jamais eu …

Il avait raison. Ses dents s’enfoncèrent dans ma chair et je fu vite envahit d’une douleur indescriptible. Même mes cris se noyaient dans ma gorge et j’embrassai vite l’inconscient. Une étrange quiétude s’empara de mon corps. Je fus bercée par tout ce constituait mes souvenirs. Mon enfance, ma scolarité, mes amies perdues et toujours là, ma famille et l’amour de ma vie. Antoine. S’inquiétait –il ne de point me voir de retour? Me cherchait-il déjà? Avait-il épluché mon carnet d’adresse?

Dehors, le soleil avait atteint sont zénith. Depuis combien de temps étais-je là? D’ailleurs, ou étais-je ? Tout était confus. Lointains. Étrange. Et puis j’avais faim … ou plutôt soif. Oui ! Étrangement soif. Je devais… boire. Un gout que je ne connaissais pas et dont je n’arrivais pas à répertorier. Un gout ferreux, velouté, chaud.
Mes premiers pas en dehors de l’Église me troublèrent. Je me sentais pesante. Comme si mon corps était fait de marbre.

C’est une fois rentré chez moi que je réalisai l’ampleur des changements qui étaient survenue en moi. Antoine, se rua sur moi et m’embrassa, soulagé de me voir enfin de retour. Il avait du passer la nuit à se faire du mauvais sang… mais pourtant, il goutait si bon. Je l’enlaçai avec tendresse mais ce fut surement avec une force encore incontrôlée. Nos langues se cherchèrent et je j’étanchai alors ma soif. Antoine tomba inerte sur le sol quand j’en eu finis, confuse, je réalisai que mon baiser l’avait tué.

Ainsi donc j’étais devenue un vampire… La mort d’Antoine m’avait fortement ébranlée cependant que je ne pouvais point calmer ma soif. Il m’en fallait plus, toujours plus. Je déambulais comme une loque, me dissimulant derrière les moindres recoins de la ville et j’attendais LA proie qui assècherait pour toujours cette maudite envi de sang qui bouillonnait en moi. Mais chaque nouveau cadavre laisser derrière moi n’avait point freiné mes pulsions primaires. Rien ne semblait pouvoir me calmer.

J’appris quelques temps plus tard qu’une enquête avait eu lieu qu’en au carnage de mon petit studio et qu’on conclu à un meurtre et un enlèvement. Mes parents et amis(es) me croyaient morte et je décidai donc de quitter cette ville avant que mes frasques nocturnes ne même à une piste pouvant m’intercepter.
En aucun cas je ne stoppai ma progression ni même pour me nourrir. Je voulais fuir et ne jamais revenir. Et probablement que je croyais bien naïvement qu’après avoir décimée une partie des fêtards ivrognes de mon ancien chez moi, cette soif incontrôlable avait fini par me quitter et que j’allais pouvoir reprendre une existence quasi normale …Que de balivernes. Après un certain temps, je compris vite que ce désir était plus fort que moi, et à nouveau je tombai dans les dédales obscurs de la vie de vampire. Tuant des hommes et des femmes.

Un soir, alors que je croquais allègrement un grassouillet, une femme s’approcha de moi. À ma grande surprise, elle ne fut pas horrifiée du spectacle que je lui offrais. Au contraire, elle était comme moi. Courtney.

Bien vite, elle m’expliqua ce qui m’arrivait, ce que je devais savoir, et surtout, ce que je ne devais PAS faire… Elle me prit sous son aile, veillant à mon apprentissage et m’expliqua qu’il était possible de vivre sans tuer les gens. Ce mode de vie, le « végétarisme » comme elle l’appelait m’enchanta au plus au point. Ainsi donc nous débutâmes une cohabitation et ici commença ma nouvelle vie.

Spoiler:

Courtney nous ramène toute sa p'tite famille ? ^^

Bienvenue Rachel

Bienvenue !

Citation :

Il te manque une ligne ici !!

Alors ajoutons : Elle a de grands doigts agiles, ses longuent jambes lui confèrent une apparence de top modele bien qu'elle soità mille lieu mentalement de ce stéréotype usé et lorsqu'elle s'énerve,elel a tendance à se croiser les bras sur la poitrine et à lever les yeux au ciel en signe d'exaspération

Citation :

Je suis Victor Hercule de Sparte Troisième du nom. Vampire. Et ce soir, tu seras ma proie, mon diner, mon petit plaisir. Comme tu sens bon… Hummmmm Ce sera un délice pour mon palais. Aussi, s’il te plait, je te prierai de ne point te débattre, je risquerais alors te devoir t’infliger d’horrible souffrance afin que tu demeure tranquille. Cela altérera ta saveur. Tu verras, cela sera douloureux un peu au début mais, je t’offrirai le choix que je n’ai jamais eu …

Euh... Il y a peut-être des similitudes mais si tel est le cas, nous en faisont tous et toutes ici... En utilisant le terme vampire en premierlieu... en utilisant les personnagedéjà créé de Stephanie Meyer en second lieu... Bref je n'ai pas copier sur interview with the vampire ça doit bien faire 5 ans que je n'ai pas vu ce film.[i]*se croise les bras surla poitrine et lève les yeux au ciel*

Citation :

Comment as-tu pu rentrer chez toi en plein soleil sans être repéré et sans voir toi même que tu "brillais de mille feu" ? Car c'est ainsi selon Stephenie Meyer !

Ou ai-je dis que je sortais en plein soleil?

Citation :

De quelle ville s'agissait-il ?!

J'ai sortie ma carte de l'amérique et j'y ai lancé un bouton de chemise et voilà j'ai atteris sur le New Hampshire. J'ai pas eu le temps de chercher par contre s'il y a eu un film, un livre ou un truc de vampire ayant eu lieu dans cette ville.

Citation :

PS : Une dernière chose : ton avatar n'est pas à la bonne taille !

YEP ! ! ! Je suis nulle de chez nulle en informatique, ça compense pour d'autres de mes qualités.