Nouvelle Installation.

Invité

Esmé était dans la voiture avec Carlisle, ils venaient de franchir le portail de leur nouvelle maison. Après quelques instants elle vit la maison sous ses yeux. Une grande maison blanche. La voiture se stoppa et Esmé en sortit rapidement. L’air était frais et humide, ce qui ne la dépaysait pas trop de Forks.

Elle se planta là immobile devant cette nouvelle et grande maison. Elle était belle. Mais Esmé n’avait pas trop la tête à se remémorer sa vie à Forks, il valait mieux ne pas y penser et recommencer une vie ici à Londres, après tout elle était habituée aux déménagements. Elle arrêta ses rêveries et entra dans la maison. L’entrée était grande et spacieuse, elle ressemblait à celle de Forks. Mais pour le moment Esmé allait plutôt vider ses valises, au lieu de directement s’attaquer à la décoration.

Elle flâna un peu dans la maison et entra par hasard dans une chambre, où ses valises et celles de Carlisle étaient déjà déposées, c’était donc leur chambre. Elle s’assit sur le lit, couvert d’un couvre lit en soie grise,et regarda autour d’elle. Une grande chambre spacieuse avec un rebord sur la fenêtre, où elle pourrait se mettre pour contempler le paysage, cela la fit sourire, elle adorait s’asseoir près d’une fenêtre, sa l’aidait à trouver de l’inspiration parfois pour tel ou tel décoration dont elle était chargée. Les murs étaient peints d’un côté d’un gris clair et de l’autre d’un blanc cassé. Une commode tenait presque une moitié de pan de mur, l’autre moitié était orné d’un grand miroir. Esmé prit son courage à deux mains et entreprit de déballer ses affaires. Elle prit un sac et en sortit plusieurs cadres photos. Un contenant une photo de toute la famille qu’elle posa sur la commode.

Sa famille… c’était la chose la plus importante pour Esmé, elle serait prête à tout pour elle, elle était si heureuse qu’Edward est enfin trouver l’amour, elle avait si peur qu’il ne trouve pas cette personne, cette personne qui embellie la vie et rend tous les sacrifices possibles. Esmé avait cette personne qui lui avait offert une seconde et si merveilleuse vie, Carlisle et maintenant Edward avait Bella. Esmé aimait beaucoup Bella, elle l’a considérait comme sa propre fille, et avec tout les choses qui lui arrive elle a besoin de soutient et d’affection.

Esmé soupira et laissa ses affaires à moitié déballés sur le lit. Elle descendit au salon, puis sortit dans le grand, même immense jardin qui entourait la maison. De grands et magnifiques arbres étaient là et se pliaient au gré du vent. Esmé s’appuya contre le mur de la maison et se contenta de regarder son nouvel environnement.

Mes valises du moins le peu de bagages que j'avais emporter de Forks avec moi était à présent bien rangé dans notre armoire. Je dit notre, même si j'ai du mal à réaliser la réalité de ce mot, car cette armoire appartient tant à Edward qu'a moi. Je n'en était point effrayée bien au contraire, je sentais que je prenais de plus en plus de place dans la vie de mon bien aimé. Pour ce qui est du lit, cela ne m'avait guère choquée ni même étonnée vu que même à Forks Edward passait tout ses nuits en ma compagnie. Il rêvait par correspondance à travers moi. Cependant ma mère me l'avait souvent dit sur le ton de la rigolade mais je suis ce genre de personne qui parle dans ses rêves. Autant dire qu'au départ je me levais le regard soucieux en demandant à Edward les mots qu'ils avaient entendus. Heureusement pour l'instant il n'avait pas eut vent en détails des cauchemars qui hantaient encore mes nuits malgré notre changement de continent ! Mais ne n'allait pas l'inquiéter sur ce propos, nous étions en sécurité !

L'armoire était pleine à craquée malgré ma faible contribution. Non Edward n'était pas le coupable mais bien sa sœur Alice. Les trois quarts du meuble était peuplé par des vêtements aux couleur pastelles et autres. Dans la penderie s'étalaient de nombreuses robes que je ne mettrais jamais (mieux ne faut jamais dire jamais avec Alice). Lançant un regard exaspéré à mon compagnon celui ci me répondit avec son sourire radieux qui me fit ravaler mes paroles à propos de sa sœur. Ce n'est pas que ne n'apprécias pas Alice, bien au contraire ! Mais disons simplement que le shopping n'était pas dans mes activités favorites. Regardant brièvement par la fenêtre, j'eus le besoin soudain de m'approcher de cette verdure pas aussi foncé que celle de Forks certes mais cela ferait l'affaire. Sous le regard suspicieux nous descendîmes tous les deux mains dans la main. Lui tourna sur sa droite en direction du bureau de Carlisle tandis que je prenait sur ma gauche en direction de la baie vitrée menant au jardin après l'avoir embrasé discrètement.

Mes pieds s'enfoncèrent dans l'herbe humides tandis que je m'approchait de la petite forêt qui peuplait l'immense terrain de la maison. J'inspirais à grande bouffée l'air remplit de l'odeur insupportable du lichen qui aurait cru qu'un jour je régirait de cette façon ? peut être étais je partis de Forks d'où ce manque certains pour la ville ou vis maintenant mon père en totale incompréhension ! Je me laissais glisser par terre contre un tronc. Une sensation humide se fit sentir sous mes fesses sans aucun réaction de ma part. Levant les yeux au ciel je ne put que contempler que des nuances de gris. Le soleil était absent tant mieux !

Il était temps pour moi de quitter mes songes pour rejoindre notre maison. Je me leva doucement et commença à avancer à travers les troncs. Mon pied heurta quelque chose de dur et sans même avoir le temps de réagir, je m'étala de tout mon long bras en avant pour me protéger. Mes bras étaient couverts de boue. Me relevant tout en soupirant je commença à murmurer des rallements à mon égard. ma maladresse était toujours présente ......
M'essuyant le plus énergiquement pour ne laisser aucunes traces même si je savais pertinemment qu'ils étaient déjà tous au courant de ma chute, je voyais déjà Emmet rigolait à s'en décrocher la mâchoire à ce propos, je sortis de la petite foret tout en faisant bien attention là ou je mettais les pieds pour éviter une nouvelle humiliation publique.

Arrivant tout prés de la baie vitrée je remarqua une chevelure rousse accolée contre le mur le regard pensif. Esmé se trouvait là comme perdue dans ses songes. M'approchant d'elle tout en essayant de cacher mes bras derrière mon dos, je m'exclamai tout en souriant :

- Le jardin est vraiment sublime !

Invité

Le vent soufflait toujours légèrement sur le grand jardin. Les feuilles des nombreux arbres virevoltaient dans tous les sens. Mais soudain ce léger souffle amena au nez d’Esmé le doux parfum d’un humain. Bella. Esmé l’entendit ensuite approchée.Ce qui l’a sortie totalement de ses songes et la ramena à la réalité. Puis la jeune fille se mit à sa hauteur. Elle fit remarquer que le jardin était vraiment sublime.

Esmé tourna la tête et vit que Bella arborait un large sourire, ce qui lui faisait plaisir elle qui avait peur qu’elle reste cloitrée dans sa chambre les premiers jours de l’installation. Esmé fixa encore le jardin et la forêt.

-Il est vraiment immense… Et si paisible.

Esmé regarda à nouveau Bella, et lui fit un sourire chaleureux. Bella était si fragile, tellement à fleur de peau qu’elle avait besoin d’un endroit comme celui-ci, calme et qui était semblable à l’environnement de Forks. Esmé remarqua que Bella cachait depuis tout à l’heure ses bras dans son dos. Elle ajouta sans tourner la tête.

-Pourquoi caches-tu tes bras dans ton dos, ma chérie ?

J'étais toujours autant fascinée par ces êtres si différent de moi, les vampires. Je ne pouvais détacher mon regard tu visage parfait de la femme qui me faisait face. Ses cheveux roux brillaient et descendaient le long de son visage fin à la perfection. Ses yeux malgré leur couleur ocre étaient en parfaites harmonie avec la couleur si pale de sa peau. Elle était belle et le mot est peu. Son corps n'avait aucun défauts alors que le mien en était remplit. Rien que mon visage en comptait des milliers comme par exemple ma lèvre inférieure qui est moins pleine que ma lèvre supérieure et ne parlons pas de ma peau si blanche pour une humaine ...

La voix lointaine d'Esmé me parla du jardin qui était si immense mais aussi paisible. Je ne pouvais pas le nier cependant il n'était qu'une mauvaise copie de Forks. Mais cela me suffira pour combler mes moments de solitudes volontaire. De plus des forets devraient avoisinées Londres. Edward m'y emmènera surement ! A cette idée j'eus de légères nausées en repensant à notre balade dans la forêt de mon ancienne ville. Je peux le certifier les montagnes russes ne sont rien comparé à une balade sur le dos d'un vampire en particulier celui d'Edward. Plus jamais ! Alors que je chassais de ma tête ce souvenir si désagréable de cette balade, Esmé me demanda pourquoi je cachais mes bras derrière mon dos tout en ponctuant la fin de sa phrase par un "mon chérie".

J'avais toujours autant du mal envers la maternité d'Esmé qu'elle faisait preuve à mon égard. Je n'avais pas l'habitude à ce qu'une personne vieille sur moi comme une mère. J'aimais par dessus tout ma mère, Renée cependant notre relation était inversée. On repensant à elle, une lueur traversa mon regard. Cependant je fut étonnée de constater qu'Esmé n'avait pas entendu ma chute au vu de sa question. Je me mordis légèrement la lèvre inférieure. Elle allait surement s'inquiéter pour rien vu que je suis pour eux si faible. Je suis humaine et non en sucre et avec le nombre de chutes que j'avais subit je pouvais même dire que j'étais assez solide maintenant ...
Je répondit tout montrant à la vue d'Esmé mes bras pleins de boue tout en rigolant nerveusement :

- Oh rien de grave, je voulais tester la terre d'ici ...

Invité

Esmé regarda Bella qui riait nerveusement en lui montrant ces bras plein de boues, elle avait voulue tester la terre d’ici. Cela fit sourire Esmé ; Bella était d’une extrême maladresse, toujours à tomber ou glisser, elle attirait les ennuis, comme le disait si souvent Edward. Elle avait apparemment déjà fait l’expérience ici.

-C’était donc toi ce bruit tout à l’heure, je me demandais justement ce que c’étais.

Esmé regarda Bella et lui fit un grand sourire. Cette jeune fille avait besoin d’être rassuré, même si Esmé se montrait trop maternelle, elle n’y pouvait rien ce sont ses instincts qui prennaient le dessus. Puis elle saisit le bras de la jeune fille, sa peau était tiède contrairement à celle du Vampire qui était glaciale.

-Regarde tu t’es éraflée, tu devrais vite soigner ça… Et te changer avant d’attraper froid.

[center]Esmé prit Bella par les épaules et la serra un peu contre elle.Elle sentit la jeune fille se crisper.

-Allez viens rentrons, le temps se refroidit, si tu tombes malade, Edward va être furieux.

A sa parole, Esmé ria un peu et entraina Bella avec elle à l’intérieur de la maison

Esmé rigola légèrement lorsqu'elle remarqua l'état de mes bras ce qui m'étonna fortement. Normalement elle aurait tout de suite réagit et m'aurait emmener chaleureusement dans la salle de bain pour me soigner, là non elle rigolait simplement. Je mis son étrange comportement sur le compte du décalage de notre déménagement. J'avais pensé être la plus touchée par ce changement de continent mais non vu l'état de la femme qui me faisait face. Comme ça elle m'avait entendu pour être franche sa réponse ne m'étonna guère mais me conforta sur l'état d'Esmé pas si mauvais que ça.
Je n'aimais pas cette façon qu'avait Esmé de me regarder, elle semblait lire en moi comme un livre ouvert tel une violation de mon intimité. Ses yeux sombres me fixés avec intensité sans que je ne puisse me dérober à eux ...

Esmé me fit remarquer que je m'étais légèrement égratignée la main. Approchant celle-ci de mon visage je pus apercevoir un léger sillon rouge le long de mon index. Je n'avais rien sentit ce qui est plutôt normal dans mon cas. Ma blessure n'était en rien catastrophique, dans quelques jours cette blessure n'existera plus. Mon regard se reporta sur Esmé, elle paraissait maitre d'elle même devant ma légère blessure. D'après Edward et Alice j'avais une odeur plutôt appétissante comme si je n'avais pas assez de problème sans ! Un contact froid me saisit le bras et avant que je puisses comprendre ce qui m'arrivez, Esmé avait déjà passée ses bras autours de moi dans une étreinte maternelle . Elle me proposa de rentrer dans la maison vu que l'air commençait à se refroidir et que si j'attrapais mal Edward serait pas content. Rien qu'avec ma petite blessure il me sermonnera et s'inquiétera alors si je venais a attraper une bonne grippe je voyais déjà la scène. Je répondit d'une voix lointaine comme si ni ma blessure ni la froideur ne me touchait :

- Ce n'est rien de grave !

Avant que je puisses continuer ma phrase, Esmé me poussa avec douceur dans la maison où l'air chaud m'enveloppa de son enveloppe protectrice. Je ne pouvais guère nier que j'étais mieux ici que dehors. La maison était silencieuse comme toujours et je m'étonna même de ne pas voir Edward débarquer le regard inquiet. Heureusement celui-ci semblait occuper à autre chose que de lire les pensées de sa mère. Sans je suivis Esmé jusqu'à la salle de bain la plus proche où je m'assis avec précaution sur le rebord de la baignoire tandis qu'Esmé, connaissant bien mieux la maison que moi, s'affairait à la recherche d'un désinfectant.

- Forks vous manque à vous aussi n'est ce pas ?

Invité

Esmé et Bella entrèrent donc dans la maison, où une vague de chaleur les submergèrent. La maison était calme aucun bruit ne se faisait entendre. Heureusement Edward n’était pas dans les parages, il aurait paniqué et se serait inquiété pour rien. Esmé se dirigea jusqu’à une salle de bain, la plus près du salon il y en avait plusieurs dans leur nouvelle grande maison, suivie de près par Bella. Esmé poussa délicatement la porte et entra dans la salle de bain, Bella s’asseya sur le rebord de la baignoire, tandis qu’Esmé cherchait un désinfectant quelconque dans une des armoires qu’il y avait dans la pièce. Puis soudain la question de Bella la stoppa dans sa recherche…

Si Forks lui manquait. Oui…Malgré les nombreux déménagements qu’Esmé avait effectuée avec Carlisle et leurs enfants celui-ci était différent, tout d’abord car ils se cachaient et tentaient d’échapper à Victoria, et aussi car ils étaient à Londres…Une ville tout à fait sublime ! Là n’était pas le problème. Le soleil était constamment caché par les nuages et le climat froid et humide. Mais c’était aussi la ville où Carlisle s’était fait transformé, la ville de son humanité, il était plus fragile, trop de souvenirs étaient présents dans la capitale anglaise pour qu’il ne soit pas affecté. Et ca Esmé le ressentait très bien ! De plus il y avait à Londres d’autres clan de vampire, et surement pas tous végétarien !

-Oui, Forks me manque… Mais Londres est magnifique et nous sommes ensemble c’est tout ce qui compte !

Esmé trouva enfin un spray de désinfectant, du coton et un pansement. Elle se mit face à Bella, lui prit délicatement le bras. Elle regarda sa légère égratignure. Elle arrivait à se controler à la vue du sang, pas aussi bien que Carlisle ou Edward, mais elle ne fairait jamais de mal à Bella. Elle y mit un coup de spray, elle tamponna la plaie avec un peu de coton et mit le petit pansement. Elle se leva et fit un sourire à la jeune fille.

-Voilà tu es guérie ! Tu devrais te changer. Tu me donneras tes affaires je les laverais, ils seront secs avant demain.

Esmé jeta tout ce qui lui avait fallu pour soigner Bella et sortit de la salle de bain.

J'essayais de garder mon équilibre, ce qui n'étais pas chose facile, tandis que mon regard suivait du mieux qu'il pouvait les mouvements d'Esmé. Je savais qu'elle faisait exprès de ralentir ses mouvements pour ne pas m'effrayer, chose idiote lorsqu'on me connait assez bien ... Je ressentis une légère douleur bien supportable vers ma main, le froid n'ayant plus son pouvoir analgésique, il était normal que je ressentes ce petit picotement. Je me sentais mal, non je n'avais ni nausée ni la gorge irritée, je n'avais pas l'habitude à ce qu'on s'occupe de moi à ce point et pour être franche je ne supportais pas ça. Je préfère m'inquiéter pour les autres et non le contraire.

Le picotement si fit plus intense ce qui me fit sortir de mes songes. Levant mon regard, je remarquais qu'Esmé appliquait sur ma minuscule blessure un spray soignant. Ah je ne supportais vraiment pas ça ! J'aurais dut m'en occuper toute seule, c'est vrai je suis assez grande. Je me sentais faible ce qui était le cas face à ses vampires certes. Me mordant la lèvre j'essayais de porter mon attention autre part que dans la pièce où la scène qui s'y passait me rendez mal a l'aise . Esmé s'exclama alors que Londres était merveilleux et que seul le fait d'être ensemble comptait. Je ne pouvais guère la contredire à ce propos vu que seul Edward était ma priorité et le reste m'importait que peu ... Face à cette phrase j'inclinai légèrement la tête en signe positif cependant Forks me manquait mais je n'étais pas d'humeur à m'éterniser sur ce sujet.

A voir la large sourire sur le visage de ma "nouvelle maman", quel mot difficile à penser ! A la place de mon égratignure se tenait un jolie pansements au couleur mat. Ce type de pansement devait normalement s'accorder avec la peau du blessé cependant avec ma peau pale, la discrétion du pansement était à refaire. Maintenant avec ça, c'était sur qu'Edward, allait le remarquer. Esmé me conseilla d'aller me changer et de lui donner mes affaires. Elle avait raison je n'allais pas rester des heures dans cette tenue toute sale. Je répondit :

Merci !

Elle me sourit chaleureusement et je me sentis coupable d'avoir de telles pensée à son égard, elle me tourna le dos et commença à partir. Alors que sa main allait saisir la portière, je m'exclamai sur ton pressant :

Esmé s'il vous plait n'en parlez pas à Edward, il va s'inquiéter pour rien.

Quand je disais parler cela voulait aussi dire penser ....

Invité

Voilà Bella était soignée, mieux valait arrêter le sang de couler pour éviter que son odeur ne se propage trop et que toute la maison soit en agitation ! Esmé voulait à tout pris éviter les oppositions, Rosalie allait encore faire toute sorte de remarque désobligeante envers Bella, Edward allait s’énerver et tout le monde serait sur les nerfs… Autant éviter tout ça !

Esmé allait ouvrir la porte et sortir quand Bella lui demande de ne pas en parler à Edward. Ce qui voulait dire dans ce cas, qu’il ne fallait plus y penser non plus, ou il le détecterait immédiatement et se ferais du souci pour une toute petite éraflure. Autant éviter de le tourmenter déjà qu’il s’inquiétait beaucoup de leur récent aménagement, et de l’insertion de Bella dans une nouvelle société.

-Bien sur, ma chérie. Mais il finira par s’en rendre compte tôt ou tard.

Il allait sans doute remarquer le pansement et déceler dans les esprits de quelqu’un quelque chose qui lui ferais comprendre.

-Vas vite te changer, et ne te tourmente pas pour si peux.

Esmé sortit de la salle de bain et commença à aller au salon. Quand elle pensa, au fait que Bella était humaine et qu’elle avait besoin de se nourrir plusieurs fois par jour, contrairement aux vampires qui pouvait rester plusieurs jours sans rien boire, leur soif était plus étanche après avoir bu. Elle retourna rapidement à la salle de bain et croisa Bella dans le couloir, elle avait l’air pensive.

-Au fait Bella, tu veux peut-être manger quelque chose ?

Lui dit-alors Esmé dans un chaleureux sourire.

Alors qu'une douleur se faisait ressentir en bas de mes fesses surement dut à ma position nonchalante sur le bord de la baignoire, Esmé se retourna pour me faire face. Je me tortillais littéralement sur place en croyant faire disparaitre la douleur en vain. Je me leva à mon tours tout en passant discrètement ma main sur mes fesses dans l'espoir d'annihiler les fourmis qui les démangeaient. Je passais ma main dans ma chevelure épaisse signe de nervosité chez moi. Esmé avait raison, Edward allait le découvrir tôt ou tard si ce n'est déjà fait ! Mais je me sentais tellement coupable de lui faire subir tout ça0

Esmé dut remarquer l'anxiété sur mon visage car elle me conseilla de ne pas me tourmenter. Plus facile à dire qu'à faire. J'aimais Edward c'était indéniable pourtant je me posais sans cesse la question si j'étais assez bien pour lui. C'est vrai pourquoi c'était il entiché d'une humaine aussi maladroite que moi alors que des vampires séduisantes aux courbures parfaites l'attendaient avec impatiente. Je voyais déjà la vampire qui avait courtisé mon amant, une certaine Tanya Denali, une blonde de surcroit. Même si Edward avait protester préférer les brunes je en comprenais toujours pas son choix ! Chassant l'image de cette blonde pulpeuse tout le contraire de moi de ma tête, je remarquai qu'Esmé ne se trouvait plus dans la pièce. Il fallait que j'aille me changer avant qu'une autre personne me voie sous peine de me faire traiter de souillon par mon adorable Rosalie ...

Je commençais à avancer dans le couloir à pas feutrés chose inutile lorsqu'on vit avec des vampires. Cependant en mon fort intérieure j'avais vraiment l'impression d'être discrète .... J'étais comme toujours en ce moment perdue dans mes songes. Je me demandais comment allait réagir Edward devant l'incident de tout à l'heure, allait il me faire la morale en disant que pour une personne telle que moi, il fallait que je sois plus prudente. Ou allait il s'inquiéter comme si j'étais atteinte d'un mal incurarble au moins si c'était le cas, il serait bel et bien obligé de me transformer en vampire ... Ce fut la douce et mélodieuse d'Esmé qui me ramena à la réalité. Elle me demanda alors si j'avais faim. J'allais protester que non mais mon estomac fut plus rapide et un léger grognement sortit de mes entrailles. Je rougis légèrement de honte et répondit toute gênée :

- Oui je veux bien, s'il vous plait.

Invité

Le ventre de Bella gargouilla légèrement, un bruit nouveau pour Esmé car ses Vampires n'avaient jamais faim, leurs estomacs ne réclamaient jamais à manger! Esmé souria à Bella
qui voulue bien qu'elle lui prépare un petit quelque chose.

-Pas de problème, je vais essayer de te préparer à manger.

Esmé se dirigea en direction de la cuisine. Cela faisait une éternité qu’elle n’avait pas fais à manger, enfin depuis ils avaient bien tentés de faire un plat italien à Bella lors de leur première rencontre, mais sinon les derniers mets qu’Esmé avait préparé remontait au temps de son Humanité. Soudain Esmé se souvint qu’elle adorait faire, les tartes à la moutarde. Elle étouffa un faible rire, seulement savait-elle encore faire…

Elle arriva à la cuisine et vérifia que les placards et le frigo soient pleins. Edward ou Carlisle avait du les faire remplir sachant qu’une humaine habiterait ici. Elle alluma les lumières, et attacha ses cheveux en une queue de cheval, elle noua un tablier atour de sa taille et se mit au travail. Par précaution elle sortit tout de même u livre de cuisine, dont elle avait l’acquisition lors de l’arrivée de Bella dans la famille. Elle le lu rapidement et suivit à le lettre ce qui était inscrit. Tout d’abord elle ouvrit le frigo, et fut heureuse de constater qu’une pâte briser toute faite y était, elle l’a sortit ainsi que le pot de moutarde et les tomates. Elle se dirigea vers le four et regard comment il pouvait fonctionner, elle parvint à le mettre en chauffe et commença son plat. Elle mit la pate dans un plat, étala la moutarde, et coupa les tomates en fines rondelles sans se couper et les disposa sur le reste. Elle enfourna le plat au four et voilà !

En attendant que le tout cuise Esmé mit la table pour Bella. Elle quitta son tablier et alla s’asseoir au salon. Elle se mit sur un fauteuil et resta là, immobile quelque instants, jusqu’à qu’elle entendit Bella dans les escaliers, la jeune fille essayait d’être la plus discrète possible mais Esmé avait l’ouïe très fine, comme tous les autres vampires d’ailleurs. Elle se leva et se rendit à sa rencontre. Bella était à la moitié des escaliers elle avait à la main ses vêtements sales, plein de boues. Ses cheveux étaient légèrement tirés en arrière ce qui lui allait à la perfection. Esmé lui sourit.

-Te voilà. Ton diner est presque prêt… J’espère que tu aimeras.

La sonnerie du four fit se tourner Esmé qui retourna aux fourneaux. Elle sortit son plat du four et en découpa un morceau qui rapidement se trouva dans l’assiette de Bella qui était posée sur la table.

-Voilà ! Viens Bella c’est prêt !

J'étais gênée de l'entrain que mettait Esmé à me rendre heureuse en quelque sorte. J'étais une assez bonne cuisinière , du moins d'après mon père qui ne sait même pas faire cuire des pâtes, bref je me sentais coupable d'imposer ma faim à ma nouvelle famille. Je savais depuis peu qu'Edward avait prit en cachette des cours de cuisine pour me faire de bon petits plats. J'étais à la fois comblé et coupable. Je répondit un simple "- merci" avant de voir Esmé disparaitre pour rejoindre sa cuisine. En un clignement de yeux, elle n'était plus là !

Résigné je grimpa les escaliers en faisant attention de ne pas louper une marche (...). Arrivée en haut, je me dirigeai avec hâte vers l'immense pièce qui servait de chambre à Edward et à moi. En parlant de lui, je fit étonnée de ne pas le voir assis sur notre lit à m'attendre. Qu'avait il de si important pour rester aussi avec Carlisle ? Rien qu'à la mine de son visage je saurais si la discussion portait sur un sujet épineux tel que Victoria. A cette pensée, je fus parcourut par de léger frisson et mes dents se mirent à claquer sans aucune intention de ma part.

Je me dirigea avec lenteur vers mon armoire pour chercher de quoi me changer. De nombreuses robes s'offrirent à moi ce qui renforça mon exaspération. Passant outre ces choses, j'enfonçai ma tête au fin fond de l'armoire ou se tenait bien plié un de ses pull bleu marine. Je savais qu'Edward adorait que je porte cette couleur qui d'après lui métrait mon teint en valeur. Pour le bas, un simple jean fit l'affaire. Prenant mes affaires dans l'un de mes bras j'avançais en direction de la sortie. Cependant un chemin, je put apercevoir mon reflet dans un des miroirs de la chambre ce qui déclencha un long soupir de ma part. Avec l'humidité ambiante mes cheveux avaient prit plus de volume, ce qui me rendait encore plus immonde que d'habitude. Trouvant rapidement un élastique, je tirai mes cheveux en arrière pour les attachant laissant mon visage dégagé. Mon estomac me rappela alors à l'ordre, je descendit doucement les marches. Malgré ma tentative de discrétion, Esmé m'attendait en déjà en bas des escaliers un sourire chaleureux sur son visage. Une odeur délicieuse de tarte se fit sentir alors qu'Esmé m'expliqua le repas était prêt et elle espérait que celui-ci allait me plaire. Souriant de toutes mes dents, je répondit enthousiaste :

- J'en suis même sur !

A peine avait elle prononcée cette phrase qu'un léger "ding" ce fit entendre. Comme tout à l'heure Esmé disparut de mon champs de vision aussitôt. Accélérant le pas, je me rendis dans la cuisine ou m'attendait une assiette dont le contenu était encore fumant. Je prit place alors qu'Esmé me demandait de venir. Je répondit avant même de commencer mon repas :

- Merci Esmé, vous savez vous n'êtes pas obligé de faire tout ça pour moi.

Invité

Bella était à présent installée et devant son repas. Elle avait dit à Esmé qu’elle n’était pas obligée de faire tout ça !

-Ne t’inquiètes pas, sa me fait plaisir.

Lui dit cette dernière dans un chaleureux sourire. Pour Esmé, Bella était un membre de sa famille, et elle allait s’en occuper comme de tous les autres, avec soins et amour. Heureusement que les vampires n’étaient jamais fatigué sinon Esmé serait morte d’épuisement depuis longtemps, à force de s’occuper de tout le monde et si peux d’elle. Elle s’assit face à Bella, et la regarda manger doucement le plat qu’elle avait préparée avec le plus d’application possible.

La maison était calme, très calme, trop calme. Bien que les vampires, ne soient pas des créatures bruyantes, même très discrète, néanmoins la maison était plongé dans un profond silence. Où étaient-ils tous ?

-Je me demande bien où sont les autres. La maison est bien trop calme.

Puis Esmé pensa à ce qu’elle pourrait bien faire au lieu de rester là. Soudain elle se rappela que Bella avait descendu ses vêtements sales qui étaient malencontreusement plein de boue ! Elle se leva rapidement, prit les vêtements que la jeune fille avait posées un peu plus loin et se dirigea en direction de la buanderie. La pièce était au rez-de-chaussée de la maison près des garages. Esmé s’y rendit et ouvrit la porte. Elle alla vers la première machine, mit les vêtements à l’intérieur, mit la lessive et démarra le programme ainsi que le lavage. Elle regarda l’heure approximative à laquelle celui-ci devait finir et repartit.

Toutefois au lieu de retourner directement aux côtés de Bella, elle se rendit dans sa chambre. Elle gravit les escaliers et entra dans la pièce. Elle chercha ensuite quelque instant son livre dans ses affaires et le sortit rapidement. Elle redescendit au salon, où Bella avait presque terminée son diner. Elle s’installa à ses côtés et se mit à la lecture de son livre, Orgueil et Préjugés. Le livre était tout jauni et les pages cornées, elle l’avait depuis très longtemps ! Mais elle le lisait souvent, elle l’adorait ! L’histoire d’Elizabeth et Mr Darcy…Une magnifique histoire d’amour !!! Qui la faisait rêvée, tout en étant éveillée puisqu’elle ne dormait jamais …

Ma fourchette dans ma main, je n'osais pas toucher à mon repas. Malgré la phrase d'Esmé dans l'espoir de me réconforter, cela n'avait guère d'effet, je me sentais toujours mal à l'aise. Que ce soit avec ma mère ou mon père, jamais ils n'étaient derrière mon dos pour me surprotéger. Cela avait surement comme conséquence de me faire grandir trop vite d'après certaines personnes. Pour ma part j'étais partagée.
Prenant mon couteau j'entrepris de couper un morceau de tarte fumante faite avec amour par Esmé pour moi. Je ne pus guère nier le gout succulente qu'avait la tarte. Malgré la moutarde présente je n'eus pas le nez qui se mit à piquer.
Regardant Esmé je m'exclamai aussitôt spontanément :

- C'est vraiment délicieux Esmé !

Malgré que le plat qui m'attendait je ressentis une boule se former au fin fond de mes entrailles. Le malaise m'envahit peu à peu. Le regard d'Esmé sur moi me gêné plus que je voulais l'avouer. Je n'arrivais toujours pas à accepter que ma famille était les Cullen et que je devais mettre dans un coin de mon cerveau ma mère et mon père. La dure réalité s'imposa à moi alors que je tentais depuis notre départ de l'annihiler. De plus, manger de la nature humaine devant une vampire qui ne rêve qu'une chose pouvoir faire de même est très déstabilisant surtout quand son regard légèrement envieux se porte sur vous. Sortant de mes songes et relevant la tête pour croiser le regard de la vampire, je suis surprise que celle-ci avait disparut. Moi qui allait répondre à sa dernière phrase tant pis ! Mon mal de ventre s'envola et je pus manger ma tarte en paix seule .... Cependant je ressentais quelques légères douleurs en mémoire d'y il a quelques instant. J'avais bientôt finit toute ma tarte lorsqu'Esmé refit son apparition dans la cuisine pour se rassoir en face de moi, un livre à la main. Ce fut ma soif qui prit le dessus sur ma curiosité. Me levant je me dirigeai avec lenteur vers levier pour remplir mon verre. Pour être franche, je ne crois pas les personnes qui disent que l'eau du robinet est mauvaise pour la santé. J'en boit depuis ma toute petite enfance et à part quelques gastro comme tout le monde je me portais à merveille. Reprenant ma place et finissant rapidement mon assiette, je me pencha légèrement sur la gauche pour pouvoir apercevoir la couverture jaunis du livre pour au moins voir le titre de cet ouvrage. Le titre Orgueils et Préjugés se détachèrent de la couverture et je pus pas me retenir de sourire devant cette révélation. Ma voix se fit entendre dans la grande cuisine :

- Orgueils et Préjugés ! Bon choix pour de la littérature anglaise.

Invité

Esmé était toujours plongée dans son roman de Jane Austen, quand Bella se leva pour aller boire, et se remplir un verre d’eau. Cette dernière revint s’asseoir à table. Puis elle fit remarquer qu’Orgueils et Préjugés était un bon choix de la littérature anglaise. Esmé sourit à cette remarque.

-J’adore ce livre, vois dans l’état dans lequel il se trouve à force de le lire.

Esmé posa son livre, et regarda la jeune fille, qui semblait mal à l’aise… Peut-être qu’elle la surprotégeait trop et qu’elle se sentait étouffée… mais cette pauvre enfant, était dans un nouveau pays inconnu, avec une nouvelle famille, une autre société et une vie à reconstruire et elle avait besoin de tout l’amour qu’on pourrait lui offrir, Esmé avait surement tendance à déborder d’attention et d’amour mais cela était dans sa nature, et tout le monde s’y habituait facilement.

-Au fait… Tes vêtements seront propres et secs demain matin.

Esmé avait tendance à vouloir tout orchestrer et tout contrôler, rien ne devait être inattendu même si cela arrivait souvent … Elle trouvait toujours une solution aux obstacles qui se présentait à elle.

-Ne trouves tu pas que ce silence est pesant ? Où sont-ils tous ?

Dit à alors Esmé en regardant furtivement autour d'elle.

J'aurais pas du être étonnée comme je le fus de la lecture d'Esmé. il ne fallait pas que j'oublie que sous son apparence de femme de 35 ans, elle avait son actif un peu plus d'un siècle. Mais l'illusion était tellement réelle que pour une fois je me laissa prendre au piège. Je n'étais pas vraiment en forme et ma capacité à observer et à analyser en était réduite. Esmé leva enfin la tête de son ouvrage pour me fixer avec ses yeux ocres. Elle rigola en disant qu'elle l'adorait. Vu l'état du libre cela pouvait se comprendre. Je renchéri tout en posant la main sur mon front pour vérifier si je n'avais une légère fièvre ce qui expliquerai mon état semi comateux :

Ce n'est pas mon préféré mais il reste cependant dans la liste des livres que j'apprécie lire.

Mon front était normal, si je commençais a halluciner cela serait très inquiétant et mal venu dans cette famille au petite soin avec une si fragile humaine. Esmé continua en parlant de mes vêtements qui seraient surement sec demain. Pour être franche, je n'avais absolument rien à faire que mes vêtements soient prêt pour demain ou pour après demain. Je ne ressemblais pourtant pas physiquement à Alice, dommage ! Je répondit d'une petite voix, encore gêné par toute l'intention que me porter Esmé comme si j'étais encore en bas âge :

Merci.

Que pouvais je dire de plus ? Ah mon plus grand étonnement j'aperçus Esmé pencher la tête sur le côté comme pour mieux entendre un quelconque son. Quand à moi, mon ouïe si peu développée ne me rendit que le silence de la cuisine. Seule ma respiration se faisait entendre légèrement. Esmé me demanda pourquoi le maison était si calme, même trop. On ne prend conscience d'un manque seulement lorsqu'on vous le rappel, et pour moi ce fut le cas. Edward n'était pas là ! J'avais tendance à trop m'inquiéter pour lui même si je savais pertinemment qu'il ne pourrait rien lui arriver c'était plus fort que moi. Essayant de me calmer, je répondit :

Peut être en chasse ou en train de faire le tour du voisinage.

Plus j'en parlais plus l'angoisse prenait peu à peu chaque parcelle de mon corps. Il fallait que je m'isole pour me calmer. Je ne pouvais pas me donner en spectacle à Esmé. J'appuyai ma tête contre ma main gauche tandis que la droite frotta légèrement mes yeux comme une enfant fatiguée. Je me retins de bailler pour ne pas sur jouer ma fatigue cependant au vue de mes cernes violettes j'avais une bonne excuse pour aller me reposer. Souriant à Esmé je me levai légèrement de table et m'exclamai :

Je vais me reposer dans ma chambre, j'ai un coup de fatigue. Merci encore pour le repas.

Sans attendre et surtout pour ne pas qu'Esmé comprenne ma pseudo farce, je commençai à grimper lentement les escaliers pour arriver rapidement dans notre chambre. Au lieu de m'allonger sur mon lit pour récupérer du décalage horaire, je me posta devant la grande fenêtre de chambre. Mon regard essayait de fixer le plus loin possible dans l'espoir de voir une ombre familière au loin.

Invité

Esmé était toujours dans la lecture des on livre, mais parfois elle jettait un rapide coup d'oeil et pouvait voir que Bella n'était pas bien. Elle semblait épuisée ou bien souffrante.
Puis sa voix retentit dans le salon. Elle répondit à Esmé que le reste de la famille était surement en chasse ou en train de découvrir le voisinage et la ville. Ce pendant Bella semblait angoisée... Esmé mit cela sur le coup de la ftigue, la jeune fille arborait de grosses cernes violettes en-dessous des yeux et s les frottaient .

Soudain Bella se leva, et dit à Esmé qu'elle allait se reposer et la remercia pour son repas. Esmé posa son livre sur la table et fit un sourire à la jeune fille.

- Vas-y, tu as l'air exténuée!

Bella partit du salon et Esmé l'entendit gravir les escaliers. Son adaptation n'allait pas être facile, elle avit en quelque jours tout perdue... son environnement, son père, ses amis, mais elel avit Edward.. Heureusement sinon la pauvre enfant ne tiendrait pas le coup!!

Trèeve de rêveri Esmé reprit son livre et continua sa lecture, même si elle connaisiat chaque phrase par coeur...

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